L'une des plus anciennes charcuteries du département de l'Isère
François, Joseph, Lucien, André, Denis, voici présentés, les cinq générations d'artisan-charcutier, de père en fils depuis 1855 à la Maison Vernay 56 rue de la République à La Côte St André;
A l'époque, on tuait le cochon à la cave. Puis les différents morceaux appétissants cuisaient dans une marmite en fonte à crémaillère, dans une grande cheminée à bois. Le trancheur à jambon était manuel, doté d'une manivelle.
Aujourd'hui, le métier a évolué mais le savoir-faire demeure. La Maison Vernay a suivi cette progression mais attachée à la tradition familiale, conserve et perpétue sa fabrication artisanale depuis cent cinquante ans : Jambon supérieur, pâtés, boudin, saucissons sec et à cuire.
Fidèle aux festivités berlioziennes, elle a créée des spécialités du chef, idéales pour vos apéritifs. Eh bien ! Comme l'a si bien dit notre illustre compositeur : « Si je vivais cent cinquante ans, je finirais par arriver.»
Aujourd'hui, le métier a évolué mais le savoir-faire demeure. La Maison Vernay a suivi cette progression mais attachée à la tradition familiale, conserve et perpétue sa fabrication artisanale depuis cent cinquante ans : Jambon supérieur, pâtés, boudin, saucissons sec et à cuire.
Fidèle aux festivités berlioziennes, elle a créée des spécialités du chef, idéales pour vos apéritifs. Eh bien ! Comme l'a si bien dit notre illustre compositeur : « Si je vivais cent cinquante ans, je finirais par arriver.»
Nous souhaitons longue vie à la charcuterie Vernay pour éveiller nos papilles... et pour longtemps !
article du Dauphiné Libéré en 2005